Omnidoc élargit la téléexpertise à toute la collaboration médicale

Parce que collaborer efficacement, c’est aussi sauver du temps… et des vies. Alors que les médecins font face à une pression croissante, Omnidoc s’impose comme une solution structurante pour organiser, sécuriser et valoriser toutes les formes de travail en équipe – bien au-delà de la seule téléexpertise.

Un outil pensé pour les usages réels, pas pour cocher des cases

Si vous êtes médecin, vous avez sans doute déjà utilisé Omnidoc. Avec plus de 100 000 professionnels de santé utilisateurs et 2 millions de téléexpertises réalisées chaque année, la plateforme s’est installée dans le quotidien médical en quelques années à peine. Mais l’ambition dépasse aujourd’hui le simple acte d’avis à distance.

En 2024, Omnidoc élargit sa mission : accompagner toutes les formes de collaboration médicale, en France comme à l’étranger. Et pour cause : dans un système de soins où le fax et le téléphone font encore office de canal de communication, fluidifier les échanges n’est plus une option, c’est une nécessité.

Téléexpertise, e-RCP, téléimagerie : vers une architecture de collaboration

Depuis sa création en 2019, Omnidoc a pris une place prépondérante dans l’écosystème. La plateforme héberge aujourd’hui 92 % des téléexpertises cotées en France, et équipe 60 % des CHU et 56 % des GHT.

Mais le besoin des professionnels a évolué. Dans un contexte de spécialisation accrue et de pénurie de médecins, les échanges entre confrères ne se limitent plus à des avis ponctuels. Ils concernent des décisions partagées, des suivis de cas complexes, ou encore des prises en charge coordonnées.

C’est dans cette logique que la plateforme a développé un outil de e-RCP (réunion de concertation pluridisciplinaire). Chaque semaine, plus de 100 RCP sont organisées sur Omnidoc, facilitant la coordination entre spécialistes et la prise de décision collective.

Le virage collaboratif : un tournant nécessaire pour les soins

L’évolution n’est pas seulement technologique, elle est culturelle. Travailler en réseau, ce n’est plus une posture, c’est une réponse concrète aux failles du système : désertification, segmentation des parcours, saturation des services.

Omnidoc entend répondre à cette nouvelle donne en couvrant un large spectre d’usages concrets :

• Téléconsultation assistée
• Adressage sécurisé
• Gestion des urgences entre établissements
• Téléimagerie
• Interprétation EEG à distance
• Transferts in utero

L’objectif affiché : connecter tous les maillons du parcours de soins, des services hospitaliers aux médecins de ville, en passant par les CPTS, les EHPAD, les MSP ou les centres de santé.

Une expansion internationale déjà amorcée

Le modèle séduit au-delà des frontières. Omnidoc déploie désormais ses services en Allemagne et en Belgique, où plusieurs CHU ont déjà adopté la plateforme. L’enjeu est le même : sortir du bricolage numérique pour construire une véritable infrastructure de coopération médicale.

Cette stratégie de croissance à l’international ne fait que commencer, mais elle confirme un virage assumé vers une plateforme de collaboration à l’échelle européenne, capable de s’adapter aux réalités de terrain dans chaque système de santé.

SantExpo 2025 : cap sur les nouveaux usages

À l’occasion de SantExpo 2025, qui se tiendra du 20 au 22 mai à Paris, Omnidoc présentera sur le stand F61 ses nouveaux cas d’usage et ses dernières fonctionnalités. Une opportunité pour les professionnels de découvrir en direct comment la plateforme peut s’intégrer dans leur pratique quotidienne – sans rupture, sans surcharge, mais avec un vrai gain d’efficacité.

« Les médecins sont en train de réinventer leur manière de travailler. Omnidoc les accompagne dans ce changement avec un outil leur permettant de collaborer de manière efficace, sécurisée et rémunérée. »

Baptiste Truchot, co-fondateur et CEO

Vers une plateforme d’infrastructure médicale

Ce que propose Omnidoc aujourd’hui n’est plus une simple solution de téléexpertise. C’est une architecture numérique de collaboration médicale, construite à partir des usages réels du terrain.

Face à la fragmentation du système, la plateforme joue un rôle d’intégrateur : elle remet du lien là où il manque, de la valeur là où il y avait du temps perdu, et de la traçabilité là où régnaient les échanges informels.

Reste une question stratégique pour les décideurs : jusqu’où faut-il aller dans l’intégration numérique du soin ? La réponse dépendra sans doute de la capacité des outils comme Omnidoc à s’adapter aux spécificités locales, tout en garantissant interopérabilité, sécurité et valorisation des actes.