Hôpital numérique : Olaqin veut fluidifier chaque étape du parcours patient
Dans un hôpital, le numérique hospitalier administratif ne se résume pas à des plateformes imposées. Il prend forme dans le quotidien : guichets encombrés, rejets de factures, erreurs de saisie. C’est là qu’Olaqin intervient, en outillant les étapes invisibles mais critiques du parcours patient.
Dans un hôpital, les temps perdus ne se comptent pas qu’en minutes de consultation. Ils s’accumulent aussi aux guichets d’accueil, dans les erreurs de saisie, les droits non validés ou les rejets de facturation. Et si la prise en charge médicale reste la priorité, le quotidien des équipes est souvent plombé par des tâches administratives chronophages, mal outillées, voire sources d’erreurs.
Face à ce constat, Olaqin propose une réponse directe : des outils numériques qui s’insèrent dans les étapes clés du parcours patient, sans complexifier davantage le quotidien des équipes. Pas d’innovation gadget, mais des solutions qui font gagner du temps, sécurisent les flux, et permettent aux professionnels de se concentrer sur l’essentiel.
Des solutions déployées dans plus de 1 000 hôpitaux
Avec plus de 1 000 établissements publics et privés utilisateurs, Olaqin n’en est pas à sa première expérimentation. Son offre repose sur une conviction forte : pour être efficace, la transformation numérique hospitalière doit s’insérer dans les flux existants, sans perturber les pratiques ni alourdir la charge des équipes.
L’entreprise propose un parcours digital complet structuré autour de trois moments-clés :
- À l’entrée, des outils d’identification et de vérification des droits des patients (AMO, AMC), utilisables en guichet ou en libre-service.
- Pendant le séjour, des services de facturation en ligne SESAM-Vitale pour les praticiens libéraux exerçant en établissement.
- En sortie, une gestion intégrée de la facturation, du paiement et du recouvrement du reste à charge.
Cette approche vise un double objectif : réduire le temps administratif pour les professionnels, et sécuriser le parcours de soins du patient sur le plan financier.
Les établissements de santé sont engagés dans une transformation profonde de leurs parcours patients, et la digitalisation est au cœur de ces évolutions. Olaqin s’inscrit pleinement dans cette dynamique pour leur apporter des solutions agiles, fiables et performantes ».
Jean-Marie DUNAND, Directeur Commercial, Marketing et Business Développement
Des galères invisibles, mais qui coûtent cher
Ce ne sont pas les grands discours sur la transformation numérique qui saturent les plannings hospitaliers. Ce sont les retours guichet pour un papier oublié, les factures rejetées à cause d’un code mal entré, les praticiens libéraux qui passent plus de temps à chercher comment facturer qu’à soigner. Ces petites frictions, personne ne les met en avant, mais tout le monde les subit. Et elles grignotent, à bas bruit, le fonctionnement de l’hôpital.
C’est là-dessus qu’Olaqin se concentre : pas sur des promesses futuristes, mais sur des bouts de parcours mal huilés. Ceux qu’on ne voit pas dans les slides PowerPoint mais qu’on retrouve, tous les jours, dans les tensions de service et les mails qui s’accumulent. Leur proposition ? Un coup de clé à molette sur ce qui bloque, sans tout refaire à zéro.
Pas besoin de tour de contrôle IA quand on veut juste que ça marche
Pour que les outils numériques tiennent la route, il faut d’abord qu’ils tournent sans planter, qu’ils s’intègrent sans friction, et qu’ils soient hébergés dans des conditions carrées. Olaqin bosse avec Claranet, un hébergeur agréé HDS, histoire de cocher les cases : pas de serveur à gérer en interne, des services disponibles quand on en a besoin (y compris à 3h du mat), et des données bien gardées.
Mais ce n’est pas ce qui intéresse en priorité les directions ou les équipes informatiques. Ce qu’elles veulent savoir, c’est : Est-ce que ça va me simplifier la vie ou m’en rajouter ? Le modèle SaaS d’Olaqin, en clair, c’est zéro maintenance locale, des mises à jour faites en douce, et des outils qui parlent déjà avec ceux en place. Pas de quoi faire une conférence, mais largement de quoi soulager les équipes.
Ce qui change vraiment une fois les outils en place
Dans les hôpitaux où les solutions Olaqin sont déjà déployées, on ne parle pas de miracle. Mais on respire un peu. À l’accueil, les bornes réduisent les embouteillages. Les patients s’en sortent seuls (ou presque), et les agents peuvent gérer les vrais cas complexes. Les praticiens libéraux, eux, arrêtent de courir après une facturation à rallonge. Et les services de gestion encaissent plus vite, sans relancer quinze fois pour un reste à charge.
Rien de clinquant, juste du solide. Du temps gagné, des frictions en moins, et des équipes qui peuvent enfin se recentrer sur ce qui compte. Ce n’est pas que l’hôpital va mieux — mais au moins, il perd un peu moins d’énergie là où ça n’a jamais été censé lui en coûter.
Le numérique hospitalier n’a d’intérêt que s’il simplifie les pratiques et sécurise les parcours. C’est ce que propose Olaqin, en outillant les moments-clés de la prise en charge administrative et financière. À travers une approche modulaire, interopérable et hébergée en SaaS sécurisé, l’entreprise répond aux enjeux actuels des établissements : efficacité, conformité, lisibilité pour les patients.
Son retour à SantExpo 2025 confirme sa volonté de se positionner non pas comme un acteur parmi d’autres, mais comme un partenaire durable de la performance hospitalière.
À suivre sur le stand F58, aux côtés de Claranet.
