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Berger-Levrault : des solutions numériques à SantExpo 2025 pour simplifier la vie des soignants

Le numérique en santé privée avance à grands pas, mais toujours sous tension. À SantExpo 2025, Berger-Levrault dévoile une gamme renforcée de solutions – DPI, portail patient, facturation, RH – conçues pour répondre aux besoins concrets des cliniques et établissements privés. Moins de saisies, plus d'efficacité : l’enjeu n’est plus l’innovation pour elle-même, mais son impact réel sur le terrain.

Le numérique en santé privée n’est plus un luxe, mais une nécessité. Chirurgie programmée, soins de suite, facturation à l’acte : dans une clinique ou une structure privée, chaque heure compte, chaque ressaisie coûte. Et quand l’informatique ne suit pas, c’est toute la mécanique du soin qui se grippe. À SantExpo 2025, l’éditeur Berger-Levrault ne promet pas de « réinventer » l’hôpital. Il veut simplement faire mieux fonctionner ce qui coince déjà aujourd’hui.

Dans la santé privée, l’administratif n’a jamais été un détail

Chirurgie programmée, soins de suite, facturation au forfait ou à l’acte : dans une clinique ou une structure privée, chaque heure compte, chaque ressaisie coûte. Et quand l’informatique ne suit pas, c’est toute la mécanique du soin qui se grippe. À SantExpo 2025, l’éditeur Berger-Levrault ne promet pas de « réinventer » l’hôpital. Il veut simplement faire mieux fonctionner ce qui coince déjà aujourd’hui.

Portail patient, DPI, RH, PMSI… Sa gamme s’étoffe, mais sans esbroufe. Et pour cause : dans le privé, l’investissement numérique est jugé à l’aune d’un seul critère – ce que ça change, concrètement, pour les équipes et les indicateurs.

Des outils conçus pour coller à la réalité du terrain

Le logiciel de DPI ne sert à rien s’il multiplie les clics. Le portail patient n’a d’intérêt que s’il allège vraiment le flux d’admission. Et les codages PMSI n’aident personne si l’interface reste incompréhensible aux non-initiés. C’est à cette condition – l’efficacité d’usage – que Berger-Levrault prétend aujourd’hui se différencier.

Ses logiciels sont déjà implantés dans de nombreuses cliniques et structures médico-sociales privées. À rebours des grands discours sur « l’hôpital du futur », la marque mise sur l’évolutif, l’interopérable, le compatible avec l’existant. Et sur un principe simple : ce n’est pas le soin qui doit s’adapter au logiciel, mais l’inverse.

Le numérique ne peut plus être un luxe dans le privé

La santé privée n’a ni les moyens de se tromper, ni le temps de refaire deux fois. Quand les directions investissent, elles veulent des outils prêts à l’emploi, mais surtout utiles dès le lendemain de l’installation. Et aujourd’hui, entre les exigences de qualité des données, les tensions RH et les contrôles des financeurs, chaque point de friction coûte cher.

Le timing est donc serré. Ma Santé 2022, Ségur, France 2030 : les réformes ne s’arrêtent pas aux portes du privé. Les GCSMS, CPTS et autres réseaux de soin exigent de la coordination. Et les ARS demandent des comptes, y compris aux établissements indépendants.

Berger-Levrault, sans chercher à tout couvrir, aligne ses briques logicielles sur les priorités :

  • un DPI fiable et sécurisé, pour éviter les doubles saisies ;
  • un PMSI bien intégré, pour garantir la qualité du codage ;
  • des outils RH adaptés, là où le pilotage du personnel est devenu un enjeu vital ;
  • et une facturation fluide, alignée avec les attentes des financeurs.

D’un outil à un écosystème : le vrai défi commence maintenant

Rien ne sert d’avoir un bon DPI si la facturation ne suit pas. Ni de maîtriser son PMSI si les RH restent éclatées. C’est cette logique de continuum numérique, entre soin, administratif et médico-social, que l’éditeur veut bâtir. Et surtout, l’ouvrir à l’extérieur : aux réseaux de soins, aux autres éditeurs, aux dynamiques territoriales.

Le défi ? L’interopérabilité, bien sûr. Mais aussi l’adhésion des équipes. Car dans les établissements privés, tout outil qui ralentit sera vite mis de côté. Le virage numérique se gagnera non pas par décret, mais par l’usage. En prouvant que le numérique peut enlever des tâches, pas en ajouter.

Moins de clics, plus de soin

Dans un paysage privé en tension, où le temps soignant est rare et la marge serrée, chaque outil numérique doit prouver sa valeur. Chez Berger-Levrault, cette valeur se mesure à l’économie d’efforts, à la fluidité des process, à la qualité des données que l’on peut – enfin – exploiter intelligemment.

Ce n’est pas une “grande transformation”. C’est une mécanique discrète, mais bien huilée, qui pourrait enfin réconcilier soin et gestion. Et redonner, en coulisses, un peu d’oxygène à ceux qui tiennent les établissements privés à bout de bras.

Clémence Minota

Je suis rédactrice spécialisée en santé et innovation, passionnée par l'impact des technologies sur l'évolution des soins médicaux. Mon expertise consiste à décrypter les dernières avancées du secteur et à fournir des contenus clairs et pertinents pour les professionnels de santé.

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